France / haussement d’épaule

Hier on a vu Domenech abandonner lui aussi, on l’a vu réaliser que ces quatre ans de crachas sans pare-brise n’avaient servi à rien, qu’il sortirait bien par la petite porte et sous les huées.

Le type tenait à son boulot plus que n’importe quel autre avant lui, et on lui a retiré bien avant l’échec pour rassurer TF1. Nous on perd l’entraîneur le plus charismatique de toute l’histoire du foot français, le seul dont on se souviendra vraiment.

Le pire c’est que les supporters coupe-du-monde (une fois tous les quatre ans) auront raison de chier ce matin.

Allez amenez la suite, amenez le petit Blanc de poulet, la France a faim.

< ce matin ô sombres héros >
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