Ceux que la précarité n’effraie pas connaissent le départ.
Une fin de contrat, un nouveau boulot, et ce départ bien souvent aidé par un ras-le-bol justifié se teinte d’une pointe de mélancolie car avec les emmerdes s’en vont des gens auxquels on aura eu le malheur de s’attacher.
Aujourd’hui, point de mélancolie.