Les 31 premières années de ma vie et les 3 premières de ce « blogue »… plus les escapades récentes.

Dieu l’a dit : quand ta moitié souffre de par sa condition, tu ne peux rien faire.

Maintenant je me demande s’il parlait des règles où de la parité.

Dans les deux cas, je me voyais mal mettre les mains là-dedans…

Cédéroms !

J’aime bien le cri d’alerte lancé juste par les propriétaires de l’Empire State Building. Ils s’indignent de la construction d’un immeuble voisin aussi haut dans les prochaines années !

‘ça détruirait le skyline new-yorkais et bloquerait toute une partie du panorama vendu très cher à des touristes en manque de… panoramas’.

Tout le monde a bien compris qu’ils redoutaient surtout un immeuble flamand neuf, parfaitement adapté aux besoins des entreprises modernes, posé juste à coté de leur merveille de 80 ans et pile devant les yeux de tous leurs locataires acheteurs ? (et de l’office du tourisme new-yorkais)

Je vérifie juste que tout le monde a bien compris.

Moi je trouve qu’ils vont bien ensemble lui et sa nouvelle blonde !

Ca y est le con moyen a fini de sourire dans le métro. La conne moyenne peut laisser son vernis de doigts de pieds s’éffriter tranquillement et votre serviteur n’a pas à se lamenter sur le bonheur « réflexe » des animaux au soleil.

Enfin, l’hiver revient. On va pouvoir les juger pour ce qui sont…

I feel light!

J’ai froid.

On peut établir que la notoriété commence lorsque un cercle de connaissances est majoritairement constitué d’inconnus.

Ajoutons à cette notoriété plusieurs centaines de milliers d’inconnus et l’affichage d’un talent quelconque, d’une qualité abordable mais rarement profitable et l’on devient une star.

Elvis est une star.

Dans un monde qui prône équilibre et sagesse (prône juste) et dont la morale est établie comme frontière de nos libertés, les héros sont toujours les irréfléchis, les incontrôlables et dont la capacité, la volonté à franchir l’interdit devient un pouvoir inaccessible à la masse, un super pouvoir.

Elvis est un héros.

L’expulsion implicite de la société, châtiment infligé à ceux qui en franchissent volontairement la frontière, horrifie la masse. En appelant ce châtiment certains héros privent leurs admirateurs de ce que tout héros classique suscitte : l’identification.

On est triste des débordements d’Elvis non par pitié ou compassion. On est triste car l’identification au héros devient dès lors impossible.

Et les seuls héros modernes ou anciens auxquels on se refuse volontairement toute identification n’étant autres que les figures divines,

Elvis est un dieu.

CQFD wo ho ho…

Maradona est un dieu.

Nos ancêtres étaient cannibales…

Puis un beau jour ils ont vu à la télé que c’était mauvais pour la santé. Le gouvernement est monté au créneau, et les publicitaires, après avoir pris des millions à l’industrie pour ‘redorer son image’, ont petit à petit lâché les producteurs de viande humaine.

Quelques années plus tard la pensée unique concluait d’un commun coup de gourdin : ne mange pas ton prochain !

Tant qu’on pouvait encore baiser sa soeur…

news de geeks

A en croire la météo il ne fallait pas aller en Ardèche hier.

J’ai passé une très bonne journée ! Et je citerai un propriétaire local :

« Aubenas est koh-lantable. »

Faudrait que Facebook se mette à publier des statistiques.

Comme le pourcentage de statut « compte à rebours vacances »

Ou le pourcentage de mères moches qui ont leur enfant pour photo de profils.

Surtout le ratio des « j’aime » laissés par pitié.

On s’entraide tous à se convaincre que nos vie ne sont pas si minables que ça.

Mais à quel point ?

Allez Facebook, stat nous ces vies de merde !

Et bien d'autres