Et si on photographiait Lyon naïvement, sincèrement. Si on se promenait à Lyon comme un couillon d’expatrié ?

Promis, on va éviter le bouton « améliorer » :/

C’est l’histoire d’un ministre et d’un CEO.

Comment se comporter pour ménager le fou et garder son image de faux intellectuel mondain ?

Ça ferait penser au costard-cravate-chaussures-pointues pris à partie dans le métro par un fou et qui, pour garder la face, tente de discuter. Mais le fou redouble d’insultes, de postillons, les yeux se posent sur cet échange entre un handicapé mental (innocent) et un bourgeois (méchant).

Le costard est pris au piège, il est le centre de l’attention, il a le « mauvais rôle », celui qui ne respecte pas un « malade » mais alors que l’assaillant se rapproche dangereusement il craque, il panique et lâche un coup de pied maladroit qui lui décroche la mèche.

— Mais monsieur, il est juste fou !

Le Ministre, redressant son pare-dessus,

Jura, la vie d’ma mère, qu’on ne l’y prendrait plus.

On hésite toujours, on débat souvent, on s’engueule même parfois mais, finalement, quelle est vraiment l’oeuvre marquante de Véronique Genest ?

Julie Lescaut ou Madrange ?

Qu’à cela ne tienne, maintenant on aura ses prises de position islamophobes vu que sa carrière devient « politique ».

Remarquons que ça aurait pu être pire, ç’aurait pu être Mouss Diouf… ah ben non.

Véronique Genest se lance dans la politique