Oh je suis allé à Shinjuku… Mais dis donc t’y vas bien souvent ? Oui ! Je vais confier un secret bien honteux, mais Shinkjuku et Shibuya, c’est bien là ou je préfère aller.
Ce sont les quartiers les plus populeux, l’un plus pour le divertissement, l’autre parce que c’est le coeur commercial et administratif de Tokyo. Ça grouille de monde, ça marche d’un pas bien décidé, on voit évidemment quelques touristes, mais perdus dans ce grand mécanisme humain (ah si ça donne trop envie de lire Zola).
Alors j’y suis allé, mais pour payer mon loyer avant tout et régler les derniers point de mon « Escape Plan ». J’en parlerai une fois qu’il sera vraiment au point.
Shinjuku…. C’est un quartier énorme que divise la très large voix ferré, Ca n’empêche pas que le quartier s’est étendu de l’autre côté de la voie ferrée, et qu’il y est tout aussi vivant. On peut vraiment diviser Tokyo en deux gros pole autour desquel se trouve les quartier principaux. A l’ouest, y a la partie récente sans réel interêt historique. On trouve Shinjuku au milieu, Harakuku et Shibuya plus au Sud et Ikebukuro tout à fait au nord de cette hémi… truc.
De l’autre côté, on a pour centre Tokyo, avec au-dessus Ueno, Akihabara (Oji hihi), et en-dessous Ginza, puis la baie. Voilà, je pourrais faire une explication plus précise des différent quartiers, mais c’est partout sur internet.
Alors concernant la liste d’hier, je me trouve un peu con parce que deux de ces points viennent de s’envoler, Kyoto, et le Shinkansen qui y était lié (c’est le train à grande vitesse). Ce con de train coûte une fortune, alors j’avais pensé le prendre juste à l’aller, pour être en forme pour une journée de tourisme, et puis prendre le bus de nuit au retour. Mais il s’avère que même un aller ça me reviendrait beaucoup trop cher quand à faire l’aller-retour en bus de nuit, ça va me niquer, faudrait rester une nuit et donc augmenter les coûts, au final ça revient au même.
Donc tant pis, je préfère bien vivre mes derniers jours plutôt que de voir Kyoto. Faut se laisser des excuses pour revenir, même si j’en ai pas besoin.