Avant de quitter Huencavelica on a pris un minibus local pour voir un village soi-disant de tissage. Arrivés là haut après 40 minutes en montagne à rouler à gauche pour mieux aborder des virages sans parapets, on a pas trouvé de centre de tissage.
Juste des gens autour d’un marché référencé dans aucun guide (juste l’office du tourisme local). Là, à part l’effet que pouvait produire ces deux touristes faisant quatre fois le tour de la place, on vivait une scène de marché simple et routinière.
Je pense qu’on s’est fait arnaquer sur le prix des bananes mais on a eu droit à une enquête impromptue menée (et filmée :/) par des écolières locales… Thème littérature et mention de Vargas quand même !
Et lors du retour en Combi. Entassés dans un minibus avec des péruviennes en costume traditionnel/fonctionnel (on y reviendra) et une porte mal fermée sur le vide andin, on savait qu’on était vraiment arrivés, qu’on se sentait enfin bien dans un environnement pourtant si différent du nôtre.