Tremblement de terre oblige il reste vraiment pas grand chose de chouette mais on voulait éviter l’horreur à touristes qu’est Paracas.
Notez qu’on a bien été obligé d’y mettre les pieds pour voir les îles Ballestas, haut lieu de grosses mouettes et pélicans !
Donc la veille, présentation des activités avec l’agence touristique et paiement des billets. On a déjà eu quelques contacts avec des Péruviens mais pas aussi mercantiles. La señora de l’agence sonnait presque comme une européenne à tenter de nous vendre ses tours où les bateaux vont très lentement pour qu’on puisse prendre des photos, filmer…
Aujourd’hui le minibus flambant neuf (tellement loin des combis) qui passe dans tous les hôtels du centre pour emmener des dizaines d’appareils photo, d’iPads et d’iPhones à Paracas. Ensuite t’attends ton guide sur le port pendant que des mecs tout chelous nourrissent des pélicans au milieu des touristes pour te raquetter quelques sols à chaque photos.
Enfin tu fais ton petit tour de bateau à la Tadoussac sauf que faut reconnaître, tu vois plus de bêtes.
Tout ça dans des îles rocheuses « mines » de guano. Cette merveilleuse fiente qui revient au goût du jour grâce à la agriculture bio.
Bref des touristes, des animaux et des montagnes de merde.
En tout cas on respire mieux ici bas ! Et ça vaut le coup pour bien apprécier cette bonne odeur de Guano.