Aujourd’hui y a Video ! Parce que c’était drôlement chouette ! Drôlement chouette !
Trois ans après le Projet 202, je reviens au Japon en 2008 avec le Projet 204! Un nouvelle chambre à Tokyo donc…
Y a ma douce qu’est venue!
Y a la cousine qu’est revenue!
Aujourd’hui y a Video ! Parce que c’était drôlement chouette ! Drôlement chouette !
C’est une vidéo commercialle qui tourne dans tous les Tokyu Hands au-dessus de la gondole Giga Pudding… (À la BHV) Pour une bonne appréciation Francophone moi je conseille de remplacer les paroles par Giga Flamby !
Même si ça résume le Japon que pour les couillons « Harakiri & Kamikaze », c’est ce qui fait sourire jusqu’au oreilles quand on réalise qu’on est ici.
Alors depuis près de deux ans et demi il y a une chose que je dois faire impérativement dès mon « retour » au Japon !
Toyota a ouvert il y a deux ans de cela un gros centre commercial au coeur de Yokohama. Ils font ça Tokyota, ils ouvrent un centre commercial, puis ils y adjoignent un « Automall » où des tas de voitures sont en exposition et disponible à la vente. Et alors cet Automall de deux étages où cohabitent très bien les bagnoles et les magasins de mode, ils ont décidé de le thématiser (à la Disney). Ils ont déjà fait ça à Odaiba. Un mall sur thème de l’Italie appelé Venus Fort, vraiment digne de Las Vegas. (le complimennnnt !)
Mais à Yokohama, le thème c’est, comme dirait les vieux : notre bonne vieille ville de Lyon ! :D
Alors en touriste Lyonnais fier des ces racines et surtout fan tout ce qui est moulé de stuc et papier maché, j’y suis allé !
J’ai embringué mon pauvre colocs Gareth (mais il avait l’air interessé aussi) et après une heure de train et un petit trajet de bus, on a débarqué à TRESSA (le nom officiel du CC, en effet peu de gens l’appelle le Mall de Lyon)
En fait le thème c’est surtout le Vieux Lyon avec quelques peintures murales si chères à nos esthètes lyonnais. Je pense qu’un bon groupe de Japonais ont du se faire rincer copieusement par la mairie alors que deux cartes postales auraient largement suffit à les inspirer.
L’histoire c’est que Lyon et Yokohama sont villes jumelles (comme San Diego et Manille…) et que finalement Lyon est très connu ici pour le Beaujolais et pour sa cuisine. C’est pas rare de rencontrer des Japono qui sont déjà allé à Lyon, bien moins rare que des américains en tout cas. M’enfin y a pas de cave à vin maintenant que j’y pense.
Mais blasage mise à part, c’est vrai que ça fait plaisir de voir un mall sur Lyon alors qu’aux quatre coins de la planète (des nationalités que j’ai côtoyées), Lyon, tout le monde s’en branle ! please add pictures
Bon il est temps que je m’épanche un peu sur Gareth & Al, mes colocs Anglais ! Alors ces jours j’ai surtout cotoyé Gareth qu’une recherche d’emploi peu fructueuse scotche dans sa petite chambre et qui a vite réalisé que de traîner avec un winner comme moi influencerait peut-être sa motivation et son charisme.
Ils sont arrivés à peu près en même temps que Marie et partagent une seule chambre. Elle est un peu plus grande que la mienne m’enfin tout de même je me verrais mal squatter mon placard avec un autre biteux. Eux s’en accomodent en attendant de trouver des positions un peu moins précaires. Remarquez ils viennent pas de Notting Hill, ils viennent de Stoke* ! La ville des six villes… Difficile de parler d’une ville qui n’a pas son Mall au Japon, mais disons que c’est à une heure de Manchester, que ça se spécialise dans la potterie et que ça m’a l’air d’un sacré Trou ! (l’équipe de Foot locale vient quand même de monter en Premier League)
Et donc vu que Al, le blond, a quand même dégotté quelques élèves pour des cours d’anglais clandestins, Gareth, moins chanceux se fait chier.
Il se joint alors volontairement à mes escapades palpitantes. Ca me change des tue-l’humour du premier mois et ça lui permet des voir des choses que personne ne lui aurait jamais montrées, comme par exemple : Lyon ! Ou en tout cas ce qu’ils en ont fait.
Et hier on est allé voir une exposition sur les Ukyo-e au Edo-Tokyo Museum.
Très nazebroque hein, une centaines de Japono à la file qui se collaient la gueule contre ces estampes, il faut bien le dire, toutes petites. Mais après on a fait le reste du musée que je connais bien et qu’il ne connaissait pas !
Ce soir je couche chez les McMillan pour vivre de folles aventures tôt demain matin !
* Par défaut je mets toujours l’article Wikipédia français, mais pour le coup y avait que quatre lignes en français. Donc j’ai joins l’article anglophone, pour les vrais passionnés de Stoke.
Oh Mon triston ! Oh ma Justyna comment ne pas les remercier de s’être coller un deuxième réveil à 4H du mat pour m’emmener voir Tsukiji (EN). Finalement Brendan et ses copines coréennes avec qui ont a bu des coups hier soir ont été embringués aussi par le jovial Triston, convaincu que 6 personnes pouvaient tenir dans une Civic. (Alors non, elles ne peuvent pas, mais une des filles s’est dégonflé)
Tsukiji (EN) c’est le marché pro et moins pro du poisson de Tokyo, donc innévitablement du Japon et quelque part du monde ! C’est là que la plupart des gros bâteaux pecheurs viennent écouler leur stock dans la cohue de ces drôles de petites chariot GeorgeLucassiens ! Ca doit être un des marchés les plus populaires des chaînes de voyages, c’est donc très connu comme truc à faire, alors il y a forcément quelques Gaijin, mais ils restent discrets hein, essayent juste de pas se faire emporter un bras.
Oh que ma Tata aurait aimé être là !
Résumé tout frais de ce matin :
Bon alors je suis chez les McMillan, sur leur clavier qwerty ou j’ai passe la nuit apres une soiree Thanksgiving organise par les Whites, les TEACHERS blonds du camping que je revois occasionellement durant quelques evenements Saint Mary et qui m’ont convie a leurs Thanksgiving.
Je vais pas m’eterniser disont qu’on a bien mange, et qu’apres le repas on a joue a un jeu appele MAFIA. Chacun tire une carte pour savoir s’il est juste citoyen ou alors s’il de la MAFIA. Ensuite on ferme tous les yeux, les « MAFIA » se reconnaissent, on ouvre les yeux, on essaye de trouver qui est MAFIA, on referme les yeux, les MAFIA tuent secretement un citoyen…
Bref, qui m’aime me raille…
Alors Madame ChériBibi et moi-même, pendant notre aventure Tranquillou, on a pu évaluer à plaisir le système ferroviaire nippon, qui je dois bien le reconnaître, trois ans de cela, n’a été testé que très localement par votre serviteur.
Avant de faire l’aventure tranquillou, je me suis bien renseigné sur le Shinkansen. Ce « Bullet Train » ou « train de balle » dont tout le monde parle, enfin presque. Il se trouve que sur le net, à part évoquer son nom, sa rapidité, son importance dans les transports japonais, c’est pas facile de trouver des informations pratiques sur le Shinkansen. Alors je me suis dit, que mon expérience enrichirait ce blog avec un article.
Pour bien comprendre la singularité du Shintruc-là il faut aller sur le quai d’une de ses gares, et en laisser passer quelques uns. Des Shinkansen, il en passe toutes les dix minutes environ. Le quai correspond à la ligne, donc à la destination et il reste toujours le même d’année en année. Et toutes les dix minutes, s’arrête un Shinkansen. Il suffit de monter dans des voitures « Reserved » si on a payé pour une place attitrée ou les « Non-Reserved » si on s’est contenté d’acheter un billet normal.
Arrivé en bout de ligne, de gentils agents en bleu et en gants montent dans le train, retournent les banquettes d’un rapide coup de bras grâce à une>pédale discrète, nettoient, changent les petites serviettes des appuie-têtes. Dix minutes après les sièges et les allées sont propres, les fauteuils sont tous dans le sens de la circulation, on vous laisse monter.
Le Shinkansen, le TGV japonais qui met toutes les plus grandes villes du pays à moins de 4 heures fonctionnent exactement comme un métro. Et ça : ça pause ! J’ose même pas imaginer l’organisation que ça débloque une machine pareille !
Et j’en viens au confort ! On a pas mesuré mais doit bien y avoir plus d’un mètre de place pour ses jambes ! Des sièges aussi larges qu’une première classe fançaise et des chiottes japonaises ou occidentales en face desquelles trônent des lavabos isolés par de joli rideaux kitchouilles. Y a même un petit placard transparent dans lequel se cache un urinoir !
Ce qui m’a toujours marqué c’est l’intérieur avion. Les fenêtres sont des gros hublots, les allées du lino où circule régulièrement une petite hôtesse et son chariot plein de cochonneries.
Alors il y a plusieurs noms de train. C’est pas lié au modèles des voitures comme on pourrait le croire mais juste au service. Par exemple sur la ligne Tokaido qui relie Tokyo à Shin-Osaka. Il y a :
Evidemment, c’était très intéressant !
Oui parce qu’ici il y a des clodos, mais juste 1/100e de ce qu’on peut trouver dans n’importe quel pays civilisé.
Et pourquoi y a-t-il a si peu de clodo ? Pas facile à dire mais ça doit forcément venir du fait qu’il y a du boulot pour tout le monde ici. Du couillon qui agite son bâton lumineux près d’un chantier au gars (10) qui guident les bagnoles sur le parking d’ikea ! Vous me direz comme aux USA sauf qu’ici il y a un salaire minimum équivalent au notre.
Selon Triston ici les clochards c’est des malades, des schizos, des paranos, bref des victimes de maladies mentales qui les empêchent d’exercer regulierement une activité rémunérée.
Ce serait donc une des raisons majeures de ce terrible vide miséreux dont souffre les japonos.
Alors tous le monde sait ici, même les touristes ponctuelles, que Ueno c’est le paradis des Clodos. Ils s’y baladent toute la journée avec des dixaines de cartons et plantent la boîte le soir venu, heure à laquelle les autorités leur foutent la paix. Ça fait plus Camping des Caddies que bidonville, mais je n’oublie pas d’ajouter à cette phrase une empathie bien humaine. (c’est fait)
Et j’ai remarqué lors de mes nombreuses balades dans le parc (je vis a côté) que vers le grand bassin central chante toujours une conne aux airs de nonne. Et que devant elle, bien tassés sur des journaux pliés, une centaine de clodos la regarde, lui offrant quelques couplets bégayé fébrilement.
Tout ça ressemble à une messe chantée, car si je ne parle pas japonais, quand on lâche un Aréruyia même parmi des sons incompréhensibles, ça attire ma vielle oreille de pêcheur.
Et hier, alors que je revenais de ma visite au musée d’histoire naturelle qui, comme beaucoup de musées, se trouve à Ueno, je retrouvai la grosse assemblée joyeuse.
J’ai pris le temps d’observer. J’avais déjà remarqué le matin en passant qu’on installait une sono devant quelque clochards commençant a déplier leur Lyon Matin (c’est souvent des vieux journaux)
Bref, Marie était là, bougeant sont bassin des quelques centimètres réglementaires en poussant un Japono chretien du meilleur goût.
Et encore une fois : que des clodos ! Pas un seul fidèle du milieu actif ! Jour de semaine, jour férié, Noël, 11 septembre, que des clochards pour paroissiens !
L’église de la miséricorde aurait-elle donc ici parvenu à convertir ceux qu’elle prétend toujours défendre pour soutirer leur denier aux indéfendables ?
Non.
En fait, derrière Marie Pleine de Grace, il y a des glacières, il y a des cagettes, il y a litres de soupe et des bananes. Bref pour la multiplication des Bento faut se taper la messe !
Même en France on ose faire ça que pour Noël, et le Clodo reste à la porte ! Donc, devant ce marchandage de la prière, ce chantage liturgique, on ne peut crier que PAÏENS !
Ben ouais. Les Japonais dans leurs pratiques des nombreux cultes qui sont venus et repartis, ont tendance à les aborder de façon assez païennes. D’abord leur religion Shintoïste, malgré tout le bien que les touristes peuvent en dire, ça reste un culte basé sur des fondements lointains, sans réel reflexions spirituelles, qui permet juste, par des cérémonies, des prières et des traditions compliquées de se préserver de la malchance, de porter bonheur. Le prête Shinto choisit la date des événements important, pour qu’ils se passent bien, il purifie les maisons et les voitures pour pas qu’ils leur arrivent malheur.
Comme dans l’antiquité on donnaient aux dieux, ou en tout cas à leur reproduction statuaire des fruits, du riz et que ces rites sont inchangés, il est devenu normal, à l’arrivée des monnaies battues, de leur donner de l’argent pour s’assurer réussite et bonheur. On commande donc aux prêtre des prières, qu’on lui paye comme un service. On jette systématiquement des pièces dans l’un des dix troncs commun des temples avant de prier. L’argent semble être partout.
Au moins le Catholicisme décore ses rites payens de fondements théologiques, raconte une histoire sur l’interêt de la cérémonie, nous dit pas juste « Ca porte bonheur ! » Mais le Shintoïsme n’indique pas de code de conduite il dit juste : Vivez une vie harmonieuse avec la nature… Super. Du coup, quand le gouvernement, comme dans tous les pays du monde, s’est rendu compte que ses « sujets » célébraient leur dieux en dansants autour de gigantesque totem en forme de bite, il a bien fallu trouver une solution.
On a donc, incidemment introduit le Bouddhisme par l’intermédiaire de la Corrée. Lui, donnait un code de conduite, une petite morale pudique, qui à défaut de terrifier les opprimées comme notre chère Chrétienté, leur donnait un peu de cette pudeur qui rend les gens chiant mais moins dérangeant. Bref, ranger moi ces gros phalus bande de ploucs !
Se sont donc mélangés les rites, les symboles, les statuettes bouddhistes et shinto dans des temples qui voulaient exercer le culte sans dissocier les deux religions Japonaises.
Quelques siècles plus tard, puisqu’il le faut bien visiblement, les chrétiens ont débarqué au Japon, enfin les Portugais (oui le pape leur avait donné le Japon…). Ils n’étaient pas rigolos, parlaient d’un Dieu cruel, d’un enfer, d’un paradis, de pudeur, de privation mais, comme à chaque fois, convertirent des milliers de fidèles !
Enfin surtout les seigneurs de ses fidèles, qui pour des kilomètres de soies, des décennies de commerce lucratif avec les étrangers, et surtout de la poudre à canon, voulaient bien qu’on leur coule un peu d’huile sur le front si ça aidait… Bref, voilà des milliers de Japonos huilés, baptisés et les Portos bien en place sur le continent. On est en 1560, et 40 ans plus tard, près d’un quart du Pays, en tout cas des domaines seigneuriaux sont chrétiens.
Arrive ensuite Tokugawa, le fondateur de la dernière lignée des Shogun. Le Shogun actuel à 5 ans, il y a donc un conseil de Régence dont il fait partie, à qui il fait la nique, puis après de nombreuses guerres, quelques aides des étrangers en armes et équipements, il conquiert le pays, mate tous les autres seigneurs et demande à l’Empereur s’il aurait l’obligence de le faire « Shogun ». Plus tard, il se rend vite comte que l’intervention des Portuguais Chretiens est une menace à la paix du Japon, qu’ils en voudront plus, qu’ils préparent certainement une conquête, une conversion de masse, bref, il a juste un peu de bon sens et décide de les virer à grand coup de tongs dans la cul.
Ca veut dire, chasser tous les prêtres, arrêter le commerce extérieur, demander à tout bon Japo-Catho de renoncer à sa religion, et le cas échéant, de les crucifier (Pas une attention touchante, on faisait juste comme ça au Japon).
Ca prendra une trentaine d’années, plusieurs Shogun Tokugawa, mais ne restera que les Hollandais à qui on alloue une ile pour qu’ils maintiennent le commercer tout en leur interdisant l’accès au territoire.
Donc Chrétien persécutés, quelques martyrs, nianiania, et du coup une religion Catholique très peu présente par rapport à n’importe quelle démocratie du monde (franchement ça repose, comme l’interdiction de fumer dans les lieux publics). Mais même cette religion-là, ils la pratiquaient sans oublier le Shintoïsme, plus une religion nationale que spirituelle, et peinait donc à isoler le christianisme comme la seule religion possible. Dans les premiers temps ils acceptèrent sûrement tous ses sacrements comme des rites d’une religion de plus qui viendrait se greffer à leur premier amalgame.
À travers ce que nous appelons nous la religion, les Japonais ne semblent pas chercher une issue spirituelle à leur faillibilité d’homme. Ils semble juste chercher à améliorer leur quotidien en lui assurant des présages heureux à travers toute sorte de superstitions religieuses, que l’on peut naturellement acheter. Les Japonais n’ont pas vécu le scandale des indulgences, alors pourquoi ne pas payer pour être sereins ?
Donc faut pas venir se plaindre si les prosélytes locaux emploient des méthodes que l’on qualifierait sans gêne de peu catholique. En tout cas moi j’ai enfin trouvé à quoi correspondait cette réunion de miséreux, je suis content d’avoir cerné la Messe des Clodos à Ueno !
Oui alors je pars bientôt, en fait dans une semaine je serai au Narita Port Hotel pour passer ma dernière nuit au Japon parmi des lumières et des bruits d’aéroport en me disant qu’il n’y a pas grand chose à faire au bord des pistes.
Alors ces jours ne sont pas vraiment occupés par des expéditions extraordinaires dignes de publications régulières. Je me contente surtout de faire ce que j’aime ici : « vivre au Japon » et ça n’inclue pas beaucoup d’adrénaline.
Je suis quand même allé au Musée de l’Armée, parce qu’ils en ont un et il est assez bien traduit, enfin assez bien adapté à la critique internationale sur ce qu’ils ont encore du mal à déconsidérer. Disons qu’ils disent Hawaïi au lieu de Pearl Harbor, que le massacre de Nanking est résumé par « Les troupes Japonaises avaient pour ordre de trouver les soldats déguisés en civils et de les tuer… » (ils en ont trouvé 200 000, hommes, femmes, enfants…)
Evidemment que pendant la 2e guerre les Japonais se sont comportés comme des trous du cul, mais pas plus que les autres ennemis. Et dû à un certains manque d’intérêt pour l’histoire contemporaine Asiatique, on a tendance à en vouloir plus aux Japonais alors que leur crime le plus populaire est d’avoir attaqué une flotte militaire en ne tuant que 57 civils. Je ne les trouve pas plus démons que le moustachu…
Je suis donc allé voir leur musée de la Guerre humblement sans mes arrières pensée d’étranger inculte en me rappelant que Hiroshima et Nagasaki ne sont pas qu’un débat interminable mais aussi l’aboutissement de décennies de modernisation militaire et sociale qui méritent d’être connues avant d’oser seulement donner raison à l’un ou à l’autre.
« Mais non Fidel, il rigole ! »
« C’est bon Nico, il plaisante »
Je sais plus quoi leur dire :/