300 geux dans un château assiègé. Un seigneur tenu par la sécurité promise à ses sujets et qui ne peut laisser rentrer personne.
Dehors famine et massacre.
300 employés dans une boîte à la con. Un patron tellement éxangue par les obligations légales envers ses salariés qu’il ne peut plus laisser rentrer personne.
Dehors chomage et précarité.
On s’en sort mieux quand même.
Brider les vuvuzelas, leur enlever 20 décibels très bien, mais pour Rama Yade on fait quoi ?
sans Frank Leboeuf,
c’est comme un ciné sans l’ado qui mâche du popcorn
c’est comme un resto sans le groupe de cons qui beugle au fond
c’est comme un TER sans un téléphone qui crache du Raï
c’est comme un match de foot sans le beauf qu’on a pas invité.
C’est bon planète saturne a vendu assez de télés en chiant sur l’équipe nationale ? L’équipe a vendu assez de journaux en chiant pareil (depuis 87)?
Ribery a fait un bisou sur le front de toute sa petite famille.
Les cons sont tous contents d’avoir dès septembre prochain un entraineur qu’il croient connaitre parce qu’il jouait après les années 80 ?
Tout le monde est prêt ? Alors que les femmes nous rendent le monde. Jusqu’au onze juillet.
Sourires, etonnements, questions même parfois l’animent lorsque koh-lanta est raconté par sa jolie collègue.
L’homme en rut est con, aidons-le.
Ses collèges Frederic Mistral, ses musées à 4 tableaux, ses cigales à foutre au mur, ses mauvais restos, ses accents aussi criards que leurs nappes jaunes et bleues…
Le sud c’est comme partout, le meilleur souvenir, ça reste le p’tit dej de l’hôtel.