Cannes ça reste le sud. Des bofs en t-shirt publicitaire super-U qui trainent leur conne en t-shirt publicitaire Gucci.
PS. On a vu un enterrement de vie de boudin. pas gracieux.
Cannes ça reste le sud. Des bofs en t-shirt publicitaire super-U qui trainent leur conne en t-shirt publicitaire Gucci.
PS. On a vu un enterrement de vie de boudin. pas gracieux.
L’info vient de tomber, David Carradine ne s’est pas suicidé ! Ouf, tout va bien. L’express nous informe qu’il a été retrouvé nu avec une corde autour du coup, et un lacet noué… à son organe sexuel…
Donc l’experte legiste, et l’article, conclut que le décès a été causé par un « accident auto-erotique ». (Ca y est on a trouvé un mot pour ce genre de décès !)
Oh dignes chrétiens, oh fiers occidentaux pour qui le suicide reste la plus grande des abjurations, réjouissez vous !
L’âme de David Carradine est sauve, il ne s’est pas suicidé, il est juste mort en se branlant…
Amen.
J’ai encore vu un gros bouffer un mcdo. Ouvrir grand la bouche pour se le mettre bien dedans.
Gros, obèse morbide hein pas rondouillet ou bien portant.
Ça me fout toujours mal a l’aise. Comme de voir un tuberculeux fumer ou un chômeur jouer au casino.
Sauf que ceux-la on les dénonce, on les condamne !
Mais un gros, pour une raison particulière, ça attendrit. D’ailleurs, ce billet va choquer.
On a du mal à assimiler la bouffe à un vice ! Mais les gars : ouvrez les yeux !
Et fermez la bouche !
Ça y est on a gagné les quelques degrés qui font que les bêtes humaines anticipent l’été.
On peut mettre enfin les conneries trouvées pendant les soldes.
La robe de gitane blanche (du blanc, beaucoup de blanc, c’est l’été le blanc), le débardeur détendu, faut que ça vole, que ça moule, que ça me plaise bien notez, mais réveillez vous les cons :
C’EST PAS L’ÉTÉ !
Ohlala une grève d’une heure et voilà des centaines de CITADINS bloqués devant un métro trop plein mais avec quand même l’ambition d’y monter…
Le Grand Lyon…
Le morceau le plus en écouté sur deezer en ce moment : Ça m’énerve.
Pour rappel…
On sait où on est.
Oh une scène de métro. Elle rentre, elle est jolie enfin pas trop moche. Il y a un grand con belle gueule qui monte aussi. Il la salue du regard lancé au collègue de métro. Et la son visage s’éclaire : elle continue de sourire quand lui a fini.
Parce que lui il s’en branle, il la laisse de l’autre côte des portes. Lui il s’en branle, il est avec sa meuf qui suit, qui lui tripote la veste pendant que la collègue mâchouille ses lèvres.
C’est mon mec je lui tripote la veste !
Pauvre petite elle en pince pour un con.
Ils descendent à Hotel de Ville.
Kate.
En fait tout ce qu’on reproche à ce type c’est de ne pas rentrer dans les connivences bidons de la scène française.
C’est de pas rire au Grand Journal, de pas s’asseoir à côté de Drucker et de ne pas saluer le travail des collègues.
Ce qu’on lui reproche c’est de dire qu’il est meilleur que tous ces cons, et sans periphrase.
Ce qu’on lui reproche c’est de ne pas accepter qu’on le mette sur la même vague (la nouvelle hein) que Benabar. Remarque pour faire ça faut vraiment jamais avoir écouté les deux dans le même mois.
Ce qu’on reproche à Biolay c’est de s’en fourtre des usages de la norme celeb-musicale Française.
C’est nous les enfoirés… Ououoo….
n’importe quoi !
