Hier : RIEN !

Et voici pourquoi : (notez la flamboyance de cette introduction Balzacienne).

Alors depuis quelques temps, depuis que je suis là en fait, j’ai remarqué un jour dans ma fenêtre difficile à combler. Dès que tous les signes d’hébergement familial illégal ne trahissaient plus ma chambre, j’ai contacté les amis Sakura… Après m’avoir demandé s’il n’y avait pas quelque chose qui bloquait la fenêtre…

Ce à quoi je répondit calmement que NON, alors que votre serviteur eut la soudaine envie d’évoquer la possibilité que son bras put se bloquer systématiquement à mi-parcrours sale CON !

Il m’ont promis que leur « maintenance staff » passerait lundi. La maintenance staff de Sakura, ça consiste en fait en un type très laid que j’avais déjà vu nous rapporter une télé, qui parle un peu anglais et qui visiblement aime beaucoup les Gaijin.

Je déconne pas, il nous sourit tout le temps. Il devait passer lundi après-midi, mais alors on sait pas trop quand hein, vous voulez être là ? Sinon il peut rentrer en votre absence ?

Un type qui rentre dans ma chambre et que je peux même pas m’en méfier, que je sais très bien qu’il va rien voler, ça me fait flipper moi, je préfère être là ! Donc j’ai attendu une bonne demi-heure, il s’est pointé à 14h30…

Sont bien ces Ponnais. Après une douzaine de hochements de tête, il m’a expliqué que le sol était tordu, j’ai un peu joué l’étonné. Et après une pause de 20 secondes, il a étayé : « I cannot do ! Nothing ! » J’ai encore joué l’étonné, mais il préparait son « mais » le taquin. Donc il m’a gentiment proposé de mettre de l’isolant, pour que je me pèle pas trop le cul. Ce que j’ai gentiment accepté ! En cinq minute c’était posé, et je me retrouvait comme un con, sans programme pour la journée…

Et je conclurai par des lignes Zoliennes :

Et l’emplit alors ce sentiment de vide, cette absence de coeur et de force, que la grande machine humaine devait à jamais lui confier…

JE PEUX TOUT JOUER !

Grégory Eche (2001, 2002, 2003, 2004, 2005)