Bon on va pas encore vous saouler, on en a déjà parlé de ce parc, mais j’ai trouvé ça encore mieux que la première fois. Juste un petit film, pour célébrer, et au lit ! Trop crevés.
[flv:broadoudou.flv]
Mon premier séjour au Japon!
3 mois de 2005, beaucoup d’automne et un peu d’hiver.
Et ma chambre portait le numéro 202… À l’époque ça paraissait cool…
Il y avait des objets du jour aussi.
Bon on va pas encore vous saouler, on en a déjà parlé de ce parc, mais j’ai trouvé ça encore mieux que la première fois. Juste un petit film, pour célébrer, et au lit ! Trop crevés.
[flv:broadoudou.flv]
Tout ce qu’on a pu faire aujourd’hui est occulté par l’unique évenement du jour !
Ce que des millions de quéqués nous envient, on l’a fait ! On l’a repéré depuis Shinjuku, on a marché jusqu’à son Drive-In bien connu, on est monté, on a dit boujour, on a pris l’ascenseur, on en a arpenté chaque couloir, et on est allé se payer un coup dans l’un des bars les plus connu du Cinéma des années 2000 ! Le New York Grill du Park Hyatt, THE HOTEL de Lost In Translation ! Tout est pareil que dedans le film, rien à changé !
C’est une espèce de studio reconstitué, un musée Lost In Translation ! Ca cartonne ! La vue est énorme ! Avec les ptites lumières rouges qui clignotent pareil que dans le film ! Les mêmes tables ! Les mêmes chaises, les mêmes dessous de verre ! (ouais on se l’ai revu après). Elle a touché à rien la Sofia, et on l’en remercie ! On a deux trois photos, mais rien d’extra, c’est pas vraiment des moments qu’on partage ça, c’est pour soi.
Alors UENO.
Du vent, des feuilles qui tombent, des couleurs très chouettes. On est d’abord allé bouffer le dernier Curry chez Matsuya, important Matsuya. Puis on a filé au Parc, on a vu des temples très sympas, le musée d’art occidental gratuit, sympa aussi. Puis on a fini chez Starbuck pour le dernier Frapuccino thé vert, le dernier cheesecake Starbuck. Tous ces derniers me mettent dans une humeur d’au-revoir aussi, dingue !
On s’est pas réveillé ce matin, donc j’ai pas pu voir ma moman, désolé tout le monde. On tâchera de se rattraper ce soir ! Demain Valise ! Et puis d’autre trucs locaux, rien de méchant. Ben non, pas grand chose à dire !
Mais on en rajoute avec une petite série de Marques débiles.
Pour le dernier jour de la couz, on a fait ce qu’on voulait faire depuis son arrivée : Korakuen ! Le Grand Huit était fermé, mais bon ! On a quand même bouffé chez BUBBA GUMP ! Ils l’ont ! Y en a deux au Japon, l’autre étant à Osaka, on a préféré faire celui-là. Donc pas d’attraction, juste des crevettes et ensuite : Baskins Robbins, enfin la journée typiquement japonaise ! Ce soir on boucle sa valise, et demain elle file la bert ! Je reprendrai une tenue du site un peu plus soutenue, mais peut-être moins marrante !
Dans son habituel expression débordante, Marie ne souhaite pas écrire pour sa dernière mise à jour avant de quitter définitivement le Projet 202 qui l’a pourtant accueillie à bras ouvert ! (ouais elle a mal à la tête…)
Alors ciao, la pouette !
Voilà, partie la Marie, elle et ses 21,5 kilos.
Alors autant vous dire que le Bibi, il a pas fait le fier sur le chemin du retour, muet comme un Jap à pas pouvoir l’ouvrir. J’écris dans cette phase de « ouhlà mais je suis tout seul » qui s’évanouira je pense dès ce soir quand j’aurai testé mon nouveau matelas.
Ca va pour les friends du Nianiania, je vais m’en remettre, z’en faites pas. Les yeux de la couz en deux semaines sont passés du « Oh comme c’est chouette ! » au « C’est bon j’ai vu, merci ».
Oui, je pense qu’elle en avait un peu marre, pas de la promiscuité avec son cher Cousin, promiscuité enviée de milliers de zelles, mais peut-être du Japon. Enfin, c’est toujours comme ça, on est content de rentrée, les regrets arrivent après.
Donc je l’ai mise dans son zoli avion bleu, et hop, libre à moi de finir tranquille mon périple. Les gens qui me connaissent savent que je gamberge déjà pour ma valise, et que je commencerai certainement à la faire (enfin la peser) une semaine avant le départ. J’adore voyager, et j’aime pas stresser, alors faut pas que les deux se rencontrent, sinon c’est gâcher !
Demain je recommence à mettre le site à jour dans MA matinée, dans VOTRE nuit. Pour tout la passade Marinette, c’est dans les archives.
Bon pour cette journée transition que la date c’est finalement le même jour. Je dirai qu’hier j’ai pas fait grand chose si ce n’est ranger un peu la chambre, me reposer, réfléchir à ce que je ferai pour ce dernier mois à Tokyo. Je suis désolé, mais la photo du Jour, c’était NOUS. Maintenant je pourrai continuer à mettre une photo tous les jours qui reflète bien l’ami Japon.
Oui, je me sens un peu seul maintenant que j’ai eu une très bonne ambassadrice de mon ptit monde de chez moi pendant 20 jours. Mais je m’en fais pas, le moral est déjà revenu. Ce matelas est vraiment génial ! Voilà pour la touche tendresse.
Bonjour ! Plein de trucs à dire !
D’abord un petit rapport sur l’excellent voyage retour de la couz… Moi j’ai vu son avion décoller et pas s’écraser au décollage, donc j’étais bien tranquille. Et elle aussi.
Alors elle est arrivée comme prévu à Amsterdam, puis, à minuit heure de Paris (elle devait atterrir à Lyon à 20h55), j’ai reçu un mail comme quoi elle était dans une navette à l’aéroport d’Amsterdam avec un groupe de vieux revenant du Pérou… Très mystérieuse la cousine.
Bref, en fait son avion pour Lyon n’a pas pu décoller, donc ils l’ont logée dans un hôtel à l’aéroport comme ça arrive fréquemment. Et elle a pris son vol hier mardi vers 10h pour atterrir à Monchat vers 12H. Elle a pas vu Terminal, elle pouvait pas apprécier ce moment. (moi non plus je l’ai pas vu). Voilà pour les insights cousine.
Ensuite je vais vous parler de mon grand projet des deux semaines à venir que j’espère bien réussir brillamment. Faut admettre que la couz, indirectement, m’a coûté bien cher.
Enfin disons que le fait d’avoir un partenaire social avec qui sortir, manger, s’amuser pendant 20 jours est coûteux, puisque toutes les activités rendues possibles par cet ajout humain reste payantes… Mais rassurez-vous : d’une, votre serviteur à de la ressource ! Et de deux, son grand projet va lui permettre de bien vivre ses deux dernières semaines tokyoïtes au détriments des deux prochaines…
Le plan c’est quoi ? Héhé !
Le plan c’est simplement de vivre 14 jours en ne dépensant que 1000Y par jour ! Ca fait que durant la période d’hier mardi au dimanche 27 au soir, je ne devrais dépenser que 13000Y. Et ensuite, à moi la dépense pour les dernières semaines ! Bien sûr je peux dépenser plus à condition de compenser le lendemain (oui j’ai mis des règles). Je vais pas donner le détail de tout ce que j’aurais acheté dans la journée, mais je compte quand même mettre en titre chaque jour le montant dépensé la veille. D’ailleurs j’ai commencé. Voilà, c’est un sous-projet du projet#202.
Avant de me justifier de ces 290Y. Je voulais juste rappeler que dans un mois jour pour jour, je serai sur le retour. Il me reste plus qu’un mois, AMEN.
Alors oui ! Effectivement, hier, j’ai dépassé… Mais faut que j’explique les conséquences. Mercredi soir, l’ami australien, alors qu’on mangeait ensemble pour la première fois depuis près d’un mois, propose de sortir Jeudi soir ! Difficile de refuser si je veux pas finir mon séjour en ermite. Donc « euh, ok ! »
Alors manger à Tokyo dans un resto où on mange face à face c’est rarement moins de mille Yen.
Et Shibuya, le lieu choisi (par moi, Régis 1er, le Roi des cons) c’est la station la plus loin sur la carte, et donc la plus chère : 290 Y. J’avais pas le choix au retour que de rentrer en train avec eux, mais à l’aller…
Ben oui : A pied ! Ça faisait longtemps que je voulais traverser Tokyo à pied. J’avais prévu de faire ça avec des tunes pour me reposer régulièrement dans des cafés, mais bon…
Donc muni de ma petite sacoche pleine de… pas grand chose ! Je suis parti ! Sur ce lien tout laid y a un peu plus d’infos sur l’aventure…
[flv:ojishibu.flv]
Tout ça pour bouffer pour 1000Y dans un resto d’Okonomi-Yaki. Alors on a tendance à dire « les omelettes japonaises » Ouais bof. Rien à voir avec une omelette puisque dans la préparation, y a finalement qu’un seul oeuf. Suffit de mettre tout ce qu’on trouve de bon dans un bol, de casser un oeuf dessus, de bien mélanger, et de tasser tout ça sur une plaque chauffante.
Je dis ça parce que là où on était hier, on les fait soi-même les Yaki. M’enfin très bonne soirée, et moi j’adore les Okonomi-Yaki ! Voilà pour mon jeudi….
Bien rattrapé quand même en ce jour de fête ! BON ANNIVERSAIRE RAPHNOU, BON ANNIVERSAIRE !
Voilà, on reprend les bonnes vieilles habitudes de souhaiter les anniversaires en retard, ça laisse quelques heures pour vérifier qu’on s’est pas gouré ! Pas grand chose à raconter si ce n’est que je vais tenir une moyenne de mon FIL ROUGE. Donc pour voir tout ça, suffira de cliquer sur le montant du jour en haut à droite. Faut bien reconnaître que, pendant ces deux semaines de challenge intensives, ce sera peut-être ma seule actualité intéressante.
Indigne Lyonnais, j’ai complètement oublié de parler de l’impact BeaujolaisNouvelien dans ma contrée d’adoption.
Alors c’était aussi Jeudi, j’ai bien remarqué des stands ambulants dans les grands magasins qui vendaient des bouteilles colorées, mais j’ai plus pensé à une promo de Noël qu’à l’arrivée d’un vin Français.
Bref, ici, le Beaujolais Nouveau, c’est George Buffet, et personne d’autre. J’ai vu que lui, en tout cas pour le premier jour. Il me semble que ce con aux étiquettes bien laides domine le marché du vin français au Japon. Faut que j’enquête. On nous en a bien sûr proposer au Resto de Yaki, mais en tant qu’oenologue commis d’office auprès de la cour d’Oji, j’ai décliné, expliquant dans un discours LyonMagien ce qu’était vraiment le Beaujolais Nouveau : de la pisse de poirot, ou de banane, ou de cerise, selon ce que les « experts » on mangé la veille.
Personne n’a été choqué, ni même déçu de mon refus, sur les trois convives, personne connaissait ! Heureusement qu’on a les Japs pour le rayonnement rhône-alpin.
Alors hier, j’ai débuté une phase disons culturelle de mon séjour, une période « oh putain, j’ai tout ça à faire » qui se combine pas trop mal avec le fil rouge « Pour 1000 Y t’as plus de riz ».
Je suis donc allé à l’EDO MUSEUM. Edo c’est l’ancien nom de Tokyo, avant qu’on se rende compte que EDO ne signifiait pas du tout que c’était la capitale. EDO c’est aussi le nom de la période dénommée d’après la capitale japonaise du moment, donc en fait la période EDO plus la période TOKYO ça couvre du 17e à nos jours. (pour les noms de périodes y a une autre approche plus officielle, mais je vous parle de celle du musée merde !)
Alors j’arrive à peine dans le grand musée de deux étages plein de reconstitutions de bâtiments, une espèce de petit main street couvert, et j’entends, comme pour ponctuer cette métaphore Disney, un son de parade. Y avait une danse Japonaise à l’étage en dessous que l’on pouvait observer depuis la réplique de l’ancien pont Nihonbashi. Alors je m’appuie sur le vieux bois de chêne, et là un Jap se retourne sur moi et me parle en anglais des danses japonaises. Je réponds poliment, gracieusement, parce que c’est pas courants que les Ponnais fassent cet honneur, mais j’ai déjà eu l’expérience du gars qui parle anglais et sacrifierait tout pour pratiquer. Bref, après un échange très intéressant sur le pouvoir du Shogun par rapport à l’Empereur (ah vous êtes rassurez quand même) il me montre son badge de guide du musée. Oh. J’ai décliné son invitation à prendre une visite guidée, tout est en anglais que je dis, je vais me débrouiller. On a continué à parler, et puis une fois les « take care » échangé, il est revenu vers moi et m’a proposé de m’accompagner pendant ma visite.
Ouais, j’ai eu droit à une visite guidée gratuite et j’ai appris plein de truc, bien plus que si je m’étais baguenaudé tout seul, faut le reconnaître. Je vais pas palabrer là dessus, mais c’est une première approche captivante de l’histoire contemporaine de Tokyo et donc du Japon. On découvre l’histoire qui a formé leur moeurs si différents des nôtres. Voilà pour ma journée !