Projet 204

Trois ans après le Projet 202, je reviens au Japon en 2008 avec le Projet 204! Un nouvelle chambre à Tokyo donc…
Y a ma douce qu’est venue!
Y a la cousine qu’est revenue!

Je te repeins la gueule ouais !

Ben faut finir les gars...

Bon alors deux petits Japonos aux courbettes embêtées sont arrivés ce matin pour repeindre les parties communes de la Sakura. Parce que je me laisse pas faire dans cette Sakura pourrie où des Français vont et viennent sans vider le Frigo ! En fait, je suis bien déçu par rapport à ma bonne vieille Oji House (Oji par là, Oji par ci… Oui ! C’est mon hood, c’est mon guetto, c’est mon neuf-trois, enfin mon toshima-kita-ku, bref respect !) Quand il manque des trucs je le dis, ils les ramènent, par contre j’ai pas demander le coup de badigeon… Mais je prends, je prends. Surtout qu’une fois les Français repartis (pas l’éclate hein, partent tôt le matin, rentrent le soir en foutant leur parapluie pile devant l’évier… bref, bof.) Je serai à nouveau le maître ahahahah !

En parlant de badigeon, j’ai remarqué un truc qui me suit, un peu à la Tommy Lee, y a des affiches partout dans le train, sur les bildings et j’ai bien hâte que mes « Mari… (oui Marion tu pourrais en être) arrivent pour essayer ce tout nouveau accessoire de beauté Panasonic.

Pour les filles !

Oui, oui c'est bien ça !

Je documenterai bien sûr ! 

Oh mon Japon comme je t’aime ! J’ai hâte qu’arrivent enfin les capsules de Dragon Ball, trop longtemps que tu nous les promets !

Hier, je suis allé à Ginza, 1923.

Faisait beau.

Faisait beau.

Sinon, j’ai rajouté des liens sympas. Il y a celui de Triston, à noter puisque qu’on y lit souvent mon nom : Camping with the teachers and Regis ; so many teachers and Regis…

En parlant de teachers with Regis, Triston m’a demandé pourquoi je n’avais pas fait de film, alors j’ai quand même monté une vidéo et je me suis bien amusé. Les passages un peu longs, c’est quand je m’ennuyais.

[DM + x70gnc + 420 + 336 + La Video]

Tu l’as bien cherché Tonton ! Et merci Julio…

Je veux pas gâcher la surprise mais demain ils auront fini la peinture, ça promet un article formidable !

Bon alors bien désolé, mais rien à dire de particulier aujourd’hui.

Du coup je colle cette photo tirée tout droit d’un bon vieux livre de blagues misogynes.

womenonly

Non c’est bien une rame réservée aux filles. Dehors pervers !

Et je l’explique :

Le train est bien mixte ici hein, mais elles en ont marre de se faire peloter.

C’est un peu une pratique légale ici. On pelote. Les Japonaise et Japonais, malgré l’urbanisme extrème dans lequel 60% d’entre eux vive, on cette attitude assez rurale qui tend à ne rien dire. La victime étant assez humiliée comme ça, pour ne pas en plus attirer l’attention sur le crime qu’elle subit. Et donc la pelotée aura tendance à simplement subir les mains du gros cochon jusqu’au prochain arrêt, et s’enfuir prestement.

Résultat, le crime est commis régulièrement puisque quasiment jamais dénoncé. Par contre, quand une brave Japonaise se permet d’hurler un ici très célèbre CHIKAN en attrapant la main du gars ! Alors là pour le cochon, c’est l’humiliation supreme. Si bien que des pelotées moins innocentes vont jusqu’à faire chanter le peloteur (ou pas peloteur hein, ça arrive) et récupère bien vite plusieurs dizaines de milliers de Yen, juste pour lui éviter l’humiliation et la police tant qu’on y est. Parce que depuis une certaine prise de conscience sponso gouvernement, on est assez dur avec les peloteurs ici.

Le gars à gauche trouve qu'elle a que ce qu'elle mérite.

Le gars à gauche trouve qu’elle a que ce qu’elle mérite.

L’histoire des voitures spéciales femmes (sur peu de lignes finalement) marchent que moyennement vu qu’elles sont vites pleines, et que les copines reléguées dans les rames normales sont vites considérées comme des « volontaires » prêtes à l’empoigne.

Voilà, en France le peloteur sait d’avance qu’il va s’en prendre une et se faire humilier dans le métro, donc il évite. C’est un petit peu les aléas d’un peuple trop digne, il y a peu de criminalité mais beaucoup de crimes finalement.

Allez, ma douce constitue bien tout un article :

Alors Bon Anniversaire chééééérie !

Puis ces bougies sont magnifiques (bien que déjà utilisées)

Ma-Gni-Fiques !

PA (petit alinéa) : Je ne m’adresse pas à Margot hein, mais bon anniversaire à ma grande-tante quand-même, et à J-B — Journée chargée.

C'était même pas prévu. Une envie comme ça.

C'était même pas prévu, juste une envie comme ça.

J’ai eu une journée bien chargée, je posterai le Roll demain.

J’ai fait pas mal de musées dont le Musée National de Tokyo qui regroupe plusieurs bâtiments et notemment le National Treasure Museum. Et celui-là, même si relativement petit est un magnifique exemple de la technologie ne servant qu’à l’appréciation du beau. Des portes coulissantes automatique épurées et ultra-silencieuse, de grandes pièces sombres dont celles des Boudah. Une centaines de petites statues chacune dans leur colonne de verre et qui quadrillent la pièce comme une petite armée. Et on passe en revu ces petits soldant, marchant entre les lignes dans une obscurité juste adaptée et un silence méditatif a pleurer mise a part… les trois Français qui jaquette dans le fond…

Y en a partout et pas seulement dans ma piaule. Dès qu’on tâte un quartier populaire, v’latipa Jean-claude et Anne-So qui se moquent de Sakada et Hannako.

Je sais pas si c’est l’automne, la crise ou la mort subite de Guillaume Ier, roi des Fils De, mais les frankéké sont partout ! C’est comme écouter des Américains ne rien comprendre a la culture Jap et s’en moquer comme un Simpson sauf que la c’est mon pays, c’est mes CONcitoyens !. Et donc ils piaillent comme au Bar des Amis sans apprécier une minute la paix de ce musée ou l’harmonie d’un Jardin. Tous ce qu’ils semblent observer sans trop de bruits ce sont les temples parce que Richard Gere a bien du leur expliquer que c’était un peu comme une église.

Il y a certainemt un tas de Français très discrets mais sans leur sac Keshua je peux pas les retrouver. Bref ceux qui emmerdent c’est les bruyant un peu bof qui sont venu pour les manga et les magasin d’éléctroniques (tu vas voir le japon c’est extraordinaire) !

Sinon retour sur Ikea parce que c’est toujours amusant de retrouver des endroits similaire au nôtre et Ikea est une excellent moyen. Je suis bien content d’y être allée. Va falloir aller à Carrefour à l’occaz. La cousine arrive bientôt donc le blog risque un peu d’être chambouler, je tâcherai de la forcer à écrire deux trois bafouille. Quand même en hommage à son arrivée prochaine je poste c ce petit film non monté !

Alors beaucoup se demande où en est mon Japonais (il court, il court… héhé) Non, je dois dire que les meufs arrivent et que votre serviteur, ne perdant jamais une occasion d’impressionner une donzelle, qu’elle soit de la famille ou déjà sa copine de toute façon, travaille son Japonais Courant. Il faut faire des petits restos tout cachés, tout pourris ! où la carte est difficilement traduisible.

[audio:pointexclamation.mp3]

Les petits restos je les fais avec Triston, mais il travaille quand même toute la semaine, et j’ai bien envie de le faire aussi avec Marie et Mariane. On va surtout pas mal se bagnoder avec Mariane et vu le niveau de communication internationale dans la capitale, le reste du pays où certaines lignes de trains n’indiquent même pas leurs stations dans notre alphabet va moins nous faire rigoler. Alors, je m’éxerce dans ces optiques-là. C’est pas du vrai Japonais, mais un début.

En videocassettes et DVD !

En videocassettes et DVD !

C’est difficile d’apprécier la complexité/facilité de la langue tant qu’on en pas cerné deux trois notions, disons qu’on n’apprend dans nos vie d’occidentaux que des langues de base latine ou saxone qui sont gramaticalement formées de la même façon. Alors que le Japonais et les autres langues asiatiques ont une grammaire à cent lieue de la notre, où les verbes ne sont pas des verbes, où les expression de désir, de souhait ne se résument pas à « verbe vouloir + » et si ça peut simplifier l’apprentissage, ça complique la méthode. Bref. On peut toujours de se débrouiller avec quelques combines.

Il y a d’abord les onomatopés locaux qui permettent d’exprimer plusieurs choses comme 

  • une réponse positive ou l’accord avec une affirmation :[audio:affirmation.mp3]
  • une réponse négative ou désacord :[audio:negatif.mp3]
  • la stupéfactoin face à une affirmation :[audio:disbelief.mp3]

Ensuite les bases de la langue que nous pouvons illustrer avec les exemple suivant :

Le Magasin d’Electronique :

[audio:lecon1.mp3]

traduction  : Où se trouve Yodobashi Camera ?

[audio:lecon2.mp3]

traduction : Peut-on trouver des Mariane Laforest à Yodobashi Camera ?

[audio:lecon3.mp3]

traduction : Ces Mariane Laforest sont-ils d’origine française ?

[audio:lecon4.mp3]

traduction : Très bien, j’en prendrai trois !

Allez il me reste quelques jours pour pratiquer !

  • Sinon les Rolls sont en ligne sur les galleries mac hein et certainement facebook maintenant.
  • J’ai mis en place un lien qui regroupe les articles contenant des vidéos. 
  • Et j’ai rajouté une page accessible depuis le menu du haut, qui liste un peu les trucs important dans ma vie ici. Pour l’instant y en a qu’un, j’en rajouterai d’autres.

Ca y est, c’est l’automne. Alors l’automne ici ça consiste en quoi ? Ben il fait pas vraiment moins chaud, ni même plus froid, pleut pas mal mais sans plus. En fait l’automne c’est surtout la fin de l’été et avec celle-ci le Japon passe en mode « hiver ».

Non, c'est pas moi qui l'ai prise ne photo.

Non, c'est pas moi qui l'ai prise.

Donc les magasin commence à chauffer même s’il fait qu’un degré de moins dehors, les distributeurs de boissons aussi chauffent. La canette de café glacé devient une canette de café très chaud. On la fait sauter dans ses mains en espérant garder ses d’empreintes digitale (eh ouais sinon je passe pas la douane moi) le temps d’attendre le train, puis on la boit tout doucement. Les restaurants bon marché vont pas tarder à donner du Thé chaud à la place du verre d’eau glacé estival. Les shorts des Japonaise restent toujours aussi court mais elles portent des gilets en fourrure et des bonnets à pompons divers et variés.

Très bon le site de la photo d’ailleurs hein. Parfait pour suivre les modes du Japon quand on y est pas !

 

Les bars servent maintenant avec la bière des petites grignoteries propres à l’automne, souvent des racines ou des trucs un peu spongieux genre tofu, qu’on laisse tremper dans un bouillon froid et boisé. Moi j’aime bien.

Bon pis y a les trucs qu’on voit pas de Tokyo aussi, comme la couleur des arbres. Ils ont des forêts qui regroupent pas mal de variétés d’arbre, ce qui fait que leurs paysages forestier ou montagneux en automne se recouvre d’un joli patchwork rouge et roux à l’automne. C’est très prisé.

Ils font tous des petites escapades Onsen pour se rapprocher de l’être aimé (les Onsen c’est pas mixte hein, on se baigne pas ensemble.) Enfin il y a des pubs de partout, pubs qui montrent de tout petits encarts sur les chambres et les Onsen sur un fond de feuillage automnal. Comme dirait Sebastien Folin, ça met un peu de nature dans les sous-terrain du métro.

Enfin voilà prenez quand même un bonnet à pompon les filles !

Ca va...

Aime pas plus l'automne que l'hiver Tommy.

Western Nouille

Western Nouille

Tampopo ! Un film Japonais, culte aux USA qui se voulait le premier Western Noodle (ouais par rapport à Spagethi hein) Ca date des années 80, c’est un film assez marrant sur ce camionneur qui accepte d’aider la copine Tampopo à transformer son resto de Ramen médiocre en temple du genre. 

Ca rappelle surtout l’importance de la bouffe dans ce pays. On ne peut pas marcher 4 mètres sans tomber sur une porte toute pourrie sur laquelle dégringole un bout de rideau rouge qu’un vieux bourré à bariolé de Kanji. Et de loin en loin, surtout dans les petites ruelles qui percent irrégulièrement on voit briller, enfin luer ces grosses lanternes rouges sur lesquelles ce même vieux bourré très populaire a écrit avec son gros pinceau, Yakitori, Ramen, Udon, Soba, Donburi, Suhi, Oden etc…

Chaque endroit à sa spécialité, mais aucun ne s’emmerde avec des néons ou des potences, ils ont tous une lanterne plus ou moins grosse, qu’il recouvre d’un plastique transparent par temps de pluie. Ce ne sont pas les restaurants réputés, chic où l’ont invite les voisins, ce sont de petite troquet graisseux. C’est toujours le même topo, on passa la tête sous les franges du petit rideau, on passe les portes automatiques (pas vraiment automatique, y a un bouton) et derrière on trouve un long comptoir qui court jusqu’au fond de la pièce. Il y a des tabourets tout contre, et quelque tables contre le mur si y a la place. (le plus souvent y a que le comptoir)

RA MEN

RA MEN

Et derrière ce comptoir un gars coiffé d’un chiffon éponge prépare ses petites saloperies. Ca sent pas forcément très bon, on a bien sûr le droit de fumer, et les toilettes sont pas chouettes. Certains comme les Yakitori (petites brochettes de tout et n’importe quoi, je conseille le foie de porc ou le cartilage de poulet) sont plus axée sur la boisson et le client commande régulièrement des brochettes pour faire descendre. Alors que ceux comme les Ramen (soupe chinoise assez costaud-e- ?) ou les Donburi (bol de riz plus un truc dessus, lamelle de porc, crevette frite, poisson cru) vise plus le mec qu’a faim. Mais dans tous les cas, c’est le même décor. J’invite à regarder ce film magique dédié au lyrisme japonais et où l’ont peut entrevoir le décor ici décrit.

Il y en a de partout, de toute les tailles, plus ou moins salles, plus ou moins remplis aussi, on a l’impression que n’importe quel clodo peut poser sa lanterne et attendre le client dans son carton. 

Faut comprendre que le Japonais contrairement à Jean-Yves Café-Tartine ou Bradford Ham-On-Egg n’a pas de type de plat défini pour tel moment de la journée. Le matin il va manger les mêmes choses que le midi ou le soir, généralement un Donburi ou un Curry. Ce qui veut dire que les lanternes et les chaînes bon marché comme Matsuya ou Yoshinoya qui se spécialisent dans les Donburi et les Curry ont des clients pour les trois repas.

En plus cuisiner au Japon c’est cher, donc finalement, les Japonais ne mangent vraiment chez eux que le soir, et bouffent au resto le matin et le midi pour le plus grand bonheur de madame et de son porte-monnaie. Donc deux repas de la journée sont généralement passés dans des endroits comme-ça. 

Et finalement les Japono s’ils n’ont pas d’heure spéciale pour repas, n’ont pas d’heure du tout, ils mangent n’importe quand et n’importe quoi. Ce n’est pas non plus une évenement social, le Japono mange la plupart du temps tout seul. Tous les restaurants franchisés sont agencé pour recevoir seulement des gens seul. Repas pris au comptoir ou contre un mur. On crée même des cloisons inutiles pour y aligner des petit japonais tout contre. On ne se regarde pas manger  quoi !

Et c’est pas plus mal, les regarder manger ça revient à observer un aspirateur s’enfiler un gros bol de nouille. Ca fait sluuuuurp jusqu’au claquement dernière nouille. Pour le riz c’est plus une balayette qui pousse sur la petite pelle. Ca ramène le riz du bol à la bouche à grand coup de baguette. Bref, clairement, nos Précieuses du XVIIIe ne sont pas venu jusqu’ici. 

Y a un moyen très simple de cerner un peu mieux cette CULTure de la bouffe, c’est de choper TAMPOPO ! 

J’ai faim.

Mochizuki, c’est le type qui se la pète avec son chapeau dans Country Desho. Il a bien sympathisé avec Triston la première fois, et après échange de numéros de téléphone, ils se voient de temps en temps pour répéter ou « performer » tous les deux. Il l’ont fait mardi mais j’ai décliné malgré les 50€ d’entrée pourtant si attractifs. 

Par contre Jeudi dernier, il y avait nouvelle réunion country à Kita-Sando dans un rad appelé Kontonto Coffee & Beer. En arrivant on a découvert le prix d’entrée qui n’était pas 50€ mais quand même de quoi espérer un beau spéctacle. Il devait pas y avoir plus de 7 tables et Mochizuki était assis à l’une d’elle dans son déguisement habituel. Je crois que le plus grand malheur de ce gars, c’est l’interdiction de circuler à cheval dans les rues de Tokyo. 

En observant ses regards à la John Wayne, ses pauses à la Woody de Toy Story, les trucs accroché à sa ceinture mais qui servent à rien, enfin tout son cinéma (ou plutôt téléfilm) on comprend vite que c’est pas un  vrai passionné. Les musicien amateurs qui pratiquent la country ici se contentent visiblement de mettre un jean et bougent tout juste les épaules quand ils chantent, bref, ils exercent leur passion en Japonais : Observateur mais difficilement acteur.

Mochizuki lui, il observent rien (il branche même pas sa guitare quand il joue) et est un bien piètre musicien et chanteur (ref. Country Desho, reprise… attendrissante de Sweet Memory) Il a une guitare à 5000€, un chapeau sûrement aussi cher, tout l’attirail, mais de country, rien. 

Cowboy BeBop Photoshop

Cowboy BeBop Photoshop

Tout comme la star de la soirée tout de suite biographée par notre ami : Une vérrrritable chanteuse de country prooooofessionelle et dont le grand fait d’arme était, visiblement, de s’être refait le nez. On nous a surtout bassiné avant son passage avec un dîner au Tokyo Dome Hotel où elle allait chanter… Donc elle a fait deux chansons (mieux que la bande je reconnais) a distribué ses flyers, merci madame.

Fallait imaginé au milieu de ça, sur la piste de danse taille parc à bébé, gigoter trois pétasses qui suivaient les pas d’un vieux grisonnant déguisé en Mochizuki et biographé lui prof de danse country…Il bougeait son bassin large comme un doigt comme s’il était l’Amérique incarnée.

On s’est donc assez rapidement éclipsé, la moyenne d’age n’aidant pas. Mochizuki a fini avec une des « chanteuses » de la soirée appréciée pour sa voix (faut imaginer un chiot étouffé dans les seins de Dolly Parton

Bref, soirée decevante, pas juste la soirée, mais tout le milieu de la country au Japon. Je dis pas que dans les autres pays le milieu de la country est extraordinaire, après tout il y a bien qu’ici que je m’y suis introduit. Mais malgré ces quelques afficionado sans déguisement, c’est quand même une sacrée bande de branleu, plus attiré par le côté Western de la chose. Ils doivent s’éclater à Frontierland (comme moi hein :)) mais jouer de la guitare, poussez la chansonette pour ces cas isolés, c’est vraiment que pour la frime. 

On est quand même dans un pays réputé pour ses passionnés à la limite du terrorismes ! Toutes les personnes abordent leur passions différemment, mais on dirait bien que pour pas mal de Japono c’est surtout un problème d’identité, voire d’assurance. Et on dirait que beaucoup de ces Woody se retrouvent aux réunions de Mochizuki San.

Pour ceux qui poussent le vice jusqu’à se demander qui est Floyd VanLaninghan… tout simplement un héro !

Et bien d'autres